Senef affiche ses ambitions
Senef veut appliquer au marché de la sécurité et du gardiennage ce qui a fait sa réussite dans le monde des logiciels SaaS. Et ambitionne clairement,
dans un avenir proche, de devenir le numéro 1. Fondé en 2011 par Momar Mbaye, Senef est éditeur de logiciels SaaS pour les entre-prises.
« Nous avons assis notre succès avec notre solution Progisap qui s’est vite imposée dans le secteur des services à la personne. Nous avons connu la même réussite avec nos autres solutions SaaS ProgiSap et Progiclean, sur des marchés tels que la propreté multiservice, les services à la personne, et de la gestion du personnel hôtelier, explique Momar Mbaye, président de Senef.
Aujourd’hui, nous voulons nous imposer dans d’autres secteurs d’activité où les besoins en solutions SaaS sont équivalents et qui recherchent des solutions digitales. La sécurité et le gardiennage font partie de ces marchés. ».
Pour poursuivre son développement, Senef a finalisé, en mai 2023, une levée de fonds de 6,5 millions d’euros auprès d’Isatis Capital. « Cette opération a été une étape cruciale dans notre développement, poursuit le dirigeant de Senef. Elle nous a permis de poursuivre notre croissance et de nous développer à l’international sur des marchés verticaux. Travaillant désormais avec plus de 1 600clients répartis dans une dizaine de pays (en France, mais aussi en Europe, en Afrique et outre-Atlantique), il nous a fallu embaucher une trentaine de personnes. Et nous allons encore en recruter une dizaine cette année pour atteindre près de 70 personnes. »
Devenir No1 en France
Momar Mbaye ne cache pas ses ambitions pour le marché français de la sécurité. « Nous connaissons, depuis plusieurs années, des taux de croissance élevés. Tous les signaux sont donc au vert pour nous imposer comme un acteur incontournable sur le marché de la sécurité et du gardiennage. Ainsi,
dans les deux ans, nous prévoyons de dépasser les 20 millions d’euros de CA et d’équiper entre 4 000 et 5 000 entreprises sur l’ensemble de nos secteurs d’activité », conclut Momar Mbaye